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Sections parallèlesAspects du cinéma mexicain : une modernité désenchantéeAvec l’Argentine, le Mexique est depuis le tournant des années 90 une place forte du cinéma d’auteur dans le continent américain. Ancré dans une longue histoire, le cinéma mexicain s’est fait connaître dans ses débuts grâce à des films de genre locaux comme la «comedia Ranchera» ( Western mexicain) et les «Cabaretera» ( films qui ont pour cadre des salons de danse). Ce cinéma populaire qui recueille de très grandes parts d’audience coexiste depuis le début des années soixante dix avec un cinéma d’auteur incarné notamment par Arturo Ripstein mais aussi par Alberto Bojórquez, Felipe Casals, Jaime Humberto dont les films ont pratiquement accompagné les « nouvelles vagues» qui sont apparues ça et là un peu partout dans le monde durant les années soixante et soixante-dix.
Ikbel Zalila
AMORES PERROS de Alejandro Gonzales INARRITU - Mexique ( 2000 )JAPON de Carlos Reygadas - Mexique ( 2002 ) TEMPORADA DE PATOS de Fernando EIMBCKE - Mexique ( 2004 ) SANGRE de Amat ESCALANTE - Mexique ( 2005 ) FAMILIA TORTUGA de Rubén IMAZ CASTRO - Mexique ( 2006 ) DONDE ESTAN SUS HISTORIAS de Nicolas Pereda - Mexique ( 2007 ) PARQUE VIA de Enrique RIVERO - Mexique ( 2008 ) EL VIOLIN de Francisco VARGAS - Mexique ( 2008 ) INTIMIDADES DE SHAKESPEARE Y VICTOR HUGO de Yulene Olaizola - Mexique ( 2008 ) DESIERTO ADENTRO de Rodrigo Pla - Mexique ( 2009 ) NORTEADO de Rigoberto Perezscano - Mexique ( 2009 ) LE CHATEAU DE LA PURETE de Arturo Ripstein - Mexique ( 1973 ) COMO AGUA PARA CHOCOLATE de Alfonso Arau - Mexique ( 1992 ) DANZON de Maria NOVARO - Mexique ( 1990 ) Gros plan sur le cinéma d’Afrique du sudLes cinémas d’Afrique du Sud restent largement méconnus au Maghreb, en raison notamment des frontières linguistiques qui séparent les deux régions. Depuis quelques années, la visibilité du cinéma sud-africain est tributaire du bon vouloir de distributeurs européens et de ce qu’ils estiment être les attentes des publics occidentaux. Ce qui n’est qu’un aspect du cinéma sud-africain se présente désormais comme tout le cinéma sud-africain avec pour principale conséquence la marginalisation de pans entiers d’une cinématographie pourtant
Ikbel Zalila
IZULU LAMI de Madode NICAYANA - Afrique Du Sud ( 2008 )U- CARMEN E KHAYELITSHA de Mark Dornford-May - Afrique Du Sud ( 2010 ) ZULU LOVE LETTER de Ramadan Suleman - Afrique Du Sud ( 2004 ) SARAFINA de Darell James Roodt - Afrique Du Sud ( 1992 ) MAX ET MONA de Teddy Mattera - Afrique Du Sud ( 2004 ) THEMBA de Stefanie Sycholt - Afrique Du Sud ( ) MON NOM EST TSOTSI de Gavin Hood - Afrique Du Sud ( 2006 ) WHEN WE WERE BLACK de Khalo Matabene - Afrique Du Sud ( 2007 ) SEA POINT DAYS de François Verster - Afrique Du Sud ( 2009 ) Cinéma des pays de l’ex Yougoslavie : ruptures et continuités entre guerre et paixRelégué à l’arrière- plan après une décennie noire marquée par des conflits armés et la partition de l’ex- Yougoslavie, le cinéma de la région renaît de ses cendres, et se décline aujourd’hui en cinéma serbe , croate, bosnien , macédonien , monténégrin, et slovène.
Ikbel Zalila
PAPA EST EN VOYAGE D’AFFAIRES de Emir KUSTURICA - Yougoslavie ( 1985 )SOME OTHER STORIES de Marija Dzidzeva, Ivona Juka, Ana Marija Rosi, Ines Tanovic, Hanna Antonina Wojcik-Slak - Tunisie ( 2010 ) KINO LIKA de Dalibor Matanic - Croatie ( 2008 ) THE BLACKS de Zvonimir Juric, Goran Devic - Croatie ( 2009 ) NO MAN’S LAND de Danis TANOVIC - Bosnie-Herzégovine ( ) PREMIERE NEIGES de Aida BEIJIC - Bosnie-Herzégovine ( 2008 ) GRABVICA de Jasmila ZBALIC - Bosnie-Herzégovine ( 2010 ) DUST de Milcho MANCHEVSKI - Macédoine ( 2010 ) I AM FROM TITOV VELES de Teona STRUGAR MITEVSKA - Macédoine ( 2007 ) ORDINARY PEOPLE de Vladimir PERESIC - Serbie ( 2009 ) THE OLD SCHOOL OF CAPITALISM de Zelimir ZILNIC - Serbie ( 2009 ) BARIL DE POUDRE de Goran Paskalevic - Serbie ( 1998 ) GRAVE HOPPING de Jan CVITKOVIK - Slovénie ( 2005 ) |
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